Deliver to Seychelles
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MOONTIDE, A FILM DIRECTED BY ARCHIE MAYO and FRITZ LANG,5although Lang was uncredited when the film was released), STARRING BY JEAN GABIN, IDA LUPINO, THOMAS MITCHELL, 1949. Bobo lives on a barge and sells fish bait. He is convinced of killing a man during an alcoholic evening he has no memory. Tiny, a parasite, the opportunity to blackmail. Soon after, Bobo saves Anna, a young woman trying to commit suicide. They fall in love with each other and decide to marry. Based on the novel Moontide by Willard Robertson Charles G. Clarke was nominated for an Academy Award for Best Cinematography, Black & White. USA / 1942 / Black & White /90 mn / Foramt : 1.33 -4/3 / Language : English / Audio : Mono / Subtitles : French
A**R
Good morning, DVD Moontide arrives in time at my ...
Good morning,DVD Moontide arrives in time at my address. DVD is in very good condition. This movie on DVD is very rare, and is very very important for my movie collection with Jean Gabin.Thank you very much.With regardsJiri Skoda
E**N
Fabelhafte Box, fragwürdige Geschäftspolitik
Man muss dankbar sein, dass überhaupt jemand das Wagnis eingeht, eine Box mit Filmen von Jacques Becker (1906-1960) zu veröffentlichen. Anders als im Fall von Fellini, Bergman oder Buñuel dürfte der Name Becker auch unter Liebhabern klassischer Filmkunst nur einem eingeschränkten Kreis geläufig sein. Selbst wenn man den Nachkriegsklassiker »Goldhelm« (1952) kennt und liebt, heißt das noch lange nicht, dass einem auch der Name seines Schöpfers bekannt ist.An der Veröffentlichung der Becker-Box durch Arthaus/Studiocanal ist aber auch ein schwerer Makel festzuhalten. »Goldhelm« war bei Arthaus bereits länger im Programm (und für eine lange Zeit war es auch der einzige auf Deutsch verfügbare Becker-Film). Dann schob Arthaus im vergangenen Jahr zwei weitere Becker-Klassiker in schön restaurierter Form nach: »Wenn es Nacht wird in Paris« (1954) und Beckers letzten und vielleicht besten Film »Das Loch« (1960). Die nun vorliegende Box enthält die drei schon in Einzelausgaben veröffentlichten Filme plus die Komödie »Edouard und Caroline« (1951). Und weil Arthaus von »Edouard und Caroline« keine Einzel-DVD/Blu-ray herausbringt, ist jeder Interessent gezwungen, sich die gesamte Box mit den Filmen, die er unter Umständen vor nicht allzu langer Zeit als Einzelausgaben erworben hat, zu kaufen. Das ist natürlich eine haarsträubende Geschäftspolitik, für die ich einen Stern in der Bewertung abziehe.Da ich die drei vorher schon vorliegenden Filme teilweise bereits an anderer Stelle besprochen habe, beschränke ich mich hier auf »Edouard und Caroline«, der ohnehin der am wenigsten bekannte der vier Becker-Filme sein dürfte.»Edouard und Caroline« ist ein Film, der Beckers gar nicht so leicht zu entdeckende Qualitäten schön zur Geltung bringt. Er ist ein schönes Beispiel für das, was die Filmwissenschaftlerin Ginette Vincendeau in einem der Bonus-Features als Beckers »diskrete Virtuosität« bezeichnet.Was ist »Edouard und Caroline« für ein Film? Es ist ein Film mit sehr wenig Handlung. Außerdem spielt er nur an zwei Schauplätzen, genauer gesagt: in zwei Wohnungen. Edouard und Caroline sind verheiratet. Sie bewohnen eine sehr einfache Wohnung. Er ist ein ambitionierter, aber armer Pianist, sie entstammt einer aristokratischen Familie. Also: Geschlechtergegensatz plus Klassengegensatz. Und es fliegen auch gleich die Fetzen. Denn man bereitet sich gerade darauf vor, zu einer Abendgesellschaft bei Carolines reichem Onkel aufzubrechen, wo Edouard vorspielen muss, was ihm wiederum Karrierechancen eröffnen soll.Der erste Teil des Films spielt weitestgehend in der Wohnung von Edouard und Caroline. Dort fetzt man sich zum Teil in Screwball-Comedy-Manier. Den zweiten Teil nimmt die Abendgesellschaft beim Onkel ein. Hier weitet sich die Geschlechterkomödie zur Gesellschaftskomödie. Dabei treffen nicht nur unterschiedliche Klassen aufeinander, sondern auch unterschiedliche Kulturen: Unter den Bediensteten ist ein Russe, und einer der Gäste ist ein typischer Amerikaner in Europa, der die blasierten Gepflogenheiten der französischen Upper Class nicht kennt, aber auch gar nicht kennen will. Das Ganze wird von Becker satirisch zugespitzt, wobei die aristokratische Klasse, der Becker selbst entstammt, nicht so gut wegkommt.Becker ist ein Filmemacher, dem es auf die Feinheiten und Nuancen ankommt. Auf das große Drama und die effektvollen Wendungen verzichtet er. »Edouard und Caroline« bevorzugt einen eher leisen Humor und strahlt Leichtigkeit aus – eine der am schwersten fassbaren und beherrschbaren Tugenden in der Kunst.Das Bonusmaterial zum Film ist überaus nützlich. Das etwa 25-minütige Interview mit Ginette Vincendeau informiert einen perfekt über Beckers Biografie, seine Karriere, seine Ästhetik und natürlich auch über »Edouard und Caroline«. In der etwa 40-minütigen Aufzeichnung einer TV-Sendung von 1974 geben die beiden Hauptdarsteller Anne Vernon und Daniel Gélin sowie die Drehbuchautorin Annette Wedemant Auskunft über den Film, über die Dreharbeiten sowie über die Person Jacques Becker. Das alles zusammen hilft ungemein, den Film in seinem Kontext zu verstehen. Die kurzen Interviewausschnitte mit Becker selbst (von 1956) geben demgegenüber nicht viel her, aber man hat ihn zumindest mal live gesehen.Fazit: Diese sehr schön zusammengestellte und mit Bonusmaterial ausgestattete Box lädt ein, einen ziemlich vergessenen großen Filmemacher wiederzuentdecken. Ein Wermutstropfen ist die schäbige Geschäftspolitik von Arthaus.
C**N
"Une mine d'or, ce Gabin"...
Il paraît que Marlène Dietrich qui partageait alors la vie de Jean Gabin aux États-Unis qualifiera "Moontide" de "film ridicule dont (elle) a oublié le titre" : ce jugement n'était sans doute pas inspiré par une idéale bonne foi, surtout s'il est exact que c'est pour un motif très personnel et donc de mauvais aloi qu'elle serait parvenue à décourager Fritz Lang de poursuivre le tournage du film qu'il quittera quatre jours après le premier tour de manivelle (et non pour incompatibilité d'humeur avec Jean Gabin, autre explication donnée), le relais étant pris par Archie Mayo.Il est certes permis de le regretter car Fritz Lang disposait avec cette histoire d'une matière narrative, d'une confrontation de caractères, d'un lieu riche de symboles, d'un climat psychologique et d'un ressort dramatique - la jalousie, la veulerie et la pulsion de vengeance - dont il aurait sans doute extrait un film plus dense, plus acéré et cernant de plus près l'ambivalence du personnage principal divisé entre la tentation de poursuivre sa route de "gitan" ainsi qu'il se nomme et celle de l'ancrage incarné par l'amour d'une femme.Mais il reste que Archie Mayo, réputé pour son solide métier à défaut de la touche de génie d'un Fritz Lang, réalise un bel ouvrage.Au titre original poétique et pictural pouvant être traduit par "Marée de lune" est substitué en français celui très quelconque et racoleur "La péniche de l'amour", dévoiement hélas connu, mais ce film de 1942 qui donne à Jean Gabin son premier rôle américain n'a rien de quelconque, je pense qu'il n'est pas réservé aux admirateurs inconditionnels nombreux, dont je fais partie, de notre acteur national tant aimé, même si la première motivation de la découverte est de le rencontrer dans un film hollywoodien où il est tel qu'en lui-même, sans la moindre concession à sa personnalité non soluble dans les concessions, mais en anglais dans le texte, non doublé.Bluffante est sa manière de s'approprier son texte anglais avec une parfaite fluidité tout en délivrant, intacte mais avec un autre charme, transfert linguistique oblige, la gouaille typiquement française dont Jean Gabin est l'emblème dans l'histoire de notre cinéma.Au vrai, il est magnifique dans ce personnage de Bobo, un français exilé en Californie, vagabond sans attaches, flanqué de son sac de marin en bandoulière et d'un chien recueilli qui ne le quitte pas d'une semelle, toujours prêt au départ, pourvoyant à sa subsistance en vendant des appâts pour un dollar par jour alors qu'il sait faire bien d'autres choses, ayant pour seul toit une barge crasseuse, pilier de comptoir dans un rade où il est le premier à lever le coude jusqu'à plus soif, donner de la voix et du coup de poing, personnage haut en couleur mais habité par les ombres de son passé, peu à peu révélées.Avant la rencontre décisive avec une belle jeune femme qu'il sauve contre son gré de la noyade, Bobo est l'épicentre d'un trio masculin avec, d'un côté, Tiny (Thomas Mitchell), le faux ami qui lui fait payer une dette issue de ce passé en vivant à ses crochets et, de l'autre, Nutsy (Claude Rains), le vrai ami, un intellectuel qui a échoué dans ce petit monde interlope on ne sait pas au juste pourquoi et s'est attaché à Bobo.Lorsque Anna (Ida Lupino) s'interpose dans ce triangle et que surgit l'amour, la romance vire au noir, le faux ami Tiny devient ennemi, minable mais inquiétant et dangereux, le parasite se mue en maître chanteur en faisant croire à Bobo qu'il est l'auteur d'un meurtre commis alors qu'il était fin saoul et ne se souvient de rien.Le titre français du film, quelconque et racoleur, dit en tout cas sans mystère que le dénouement n'est pas noir, bien qu'il soit permis de se demander si Bobo ne restera pas un "gitan" dans l'âme, quand bien même la barge crasseuse est devenue une péniche métamorphosée en bonbonnière pimpante par la grâce de l'amour.Les acteurs entourant Jean Gabin sont excellents, mon admiration particulière pour Claude Rains a été comblée par leur belle rencontre de cinéma, la seule visible pour le spectateur d'aujourd'hui mais laissant penser qu'elle fut pareillement personnelle, d'homme à homme.La photographie est superbe, avec un très beau travail sur le contraste des lumières, entre la nuit et le jour, entre la brume océane, lunaire, mystérieuse, et les loupiotes de la péniche nimbant les personnages d'un éclairage intime et protecteur : s'il est vrai que ce film a été entièrement tourné en studio ainsi que je l'ai lu quelque part, c'est du grand art.Quant à Jean Gabin : Archie Mayo, à défaut d'être Fritz Lang, a eu l'intuition et le talent de le laisser jouer avec ses dons indomptables et de lui donner une scène, la plus puissante du film, saisissante est le mot, qui nous ramène à ses plus grandes incarnations dramatiques d'avant guerre, scène qui aurait pu être signée Jean Renoir ou Marcel Carné, par exemple.Indépendamment de la curiosité qu'un tel film suscite pour nous, spectateurs français viscéralement attachés à "notre" Jean Gabin, j'ai envie de dire qu'il nous donne une raison supplémentaire de l'admirer et de l'aimer, s'il en était besoin, et de remercier le cinéma américain de lui avoir offert une belle occasion d'exporter son charisme sans pareil, et ici dans tous ses états.Ce dont la critique new-yorkaise de 1942 s'est au reste fait l'écho en écrivant notamment : "Les exploitants ont trouvé une mine d'or avec ce Gabin"...
E**N
Ne pas se fier au titre idiot de la version française.
La tignasse blonde dressée, le sac toujours prêt à basculer par-dessus l’épaule, le chien fidèle à ses pieds, le verbe haut et la bagarre facile, Jean Gabin est Bobo, surnom dont la rime avec "hobo" (le vagabond américain) a peu de chances d’être fortuite. Bobo est le premier des deux rôles que le jeune premier français interpréta dans les années 1940 à Hollywood, où il s’était réfugié pour ne pas devoir tourner sous la direction de l’occupant allemand. Même en (fort bon) anglais, sa gouaille reste reconnaissable, et on se réjouit qu’elle soit au service d’un troublant personnage, plus tourmenté que son allure le laisse paraître.Bobo est de ces esprits libres qui s’attachent à vivre sans attaches, à cueillir les plaisirs comme ils viennent avant de changer de port, vivotant de petits boulots sur sa péniche alors que de meilleures occasions se présentent à lui. Pourtant, ce nomadisme (il se qualifie lui-même de "gitan") cache autre chose que l’insouciance affichée : un certain malaise vis-à-vis de ses propres pulsions humaines, sur lesquelles il ne saurait prétendre avoir le contrôle. Une nuit confuse mais sévèrement arrosée fait office de révélateur, au lendemain de laquelle il se demande s’il n’a pas tué quelqu’un. Plus tard, ayant sauvé du suicide la jeune et jolie Anna (craquante Ida Lupino qui deviendra l'une de rares réalisatrices d'Hollywood), il se dérobe à son propre désir naissant, affecte de préférer la frivolité. Sur ses pulsions violentes, sur son attirance pour Anna, sur les manigances de son répugnant "ami" Tiny (Thomas Mitchell) qui vit à ses crochets et qui ne supporte pas de voir une inconnue s’interposer entre eux, il lui faudra quelque temps pour ouvrir les yeux.Sous le prétexte de louvoyer entre comédie romantique et film noir (avec cette ambivalence des plans de la péniche plongée dans la brume nocturne et éclairée de l’intérieur, nid douillet autant que piège), c’est le louvoiement de son antihéros que "Moontide" suit fidèlement et avec empathie, avant qu’il ne regarde en face, dans des circonstances dramatiques, la vraie nature de ses sentiments (suivre son regard perdu au climax final sur les rochers). Avant cela, Bobo aura oscillé entre deux choix de vie qui, chacun à son degré, ne sont que des refuges contre l’acceptation de soi : d’une part son habituelle échappatoire dans sa posture d’homme libre, et d’autre part son revirement dans la soumission à une certaine norme. Car tout homme libre qu’il est, il reste cerné par la normalité, qui l’appelle d’ailleurs, à travers notamment cette musique qui émane longuement d’une péniche voisine. Et par amour, il finit par succomber à ces sirènes, en voulant faire les choses "comme il faut" (il le répétera plusieurs fois), en enfilant un costume pour son mariage, en se montrant sociable envers ses invités qui viennent investir sa péniche pour l’occasion. Cette nouvelle posture sied-elle mieux à ses aspirations ? Le doute subsiste, le happy-end ne tranchera pas vraiment.Le film est mené avec métier par le vétéran Archie Mayo. Évidemment, quand on sait qu’avant lui, le poste était occupé par un certain Fritz Lang (remercié au bout de quatre jours pour incompatibilité d’humeur avec Gabin), on se prend à rêver d’une direction autrement plus incisive et interrogatrice que l’Autrichien aurait pu imprimer à l’ouvrage. Mais en l’état, cette "Péniche de l’amour" reste une modeste mais intéressante étude de caractère d’un homme qui se cherche.
S**D
dommage, version originale en "ANGLAIS" sous-titrée en français
Très beau film comme tous les "GABIN" Dans ce film, Gabin au passé sombre, a trouvé travail et refuge auprès d'un commerçant Asiatique, qui vends des appâts pour la pêche . Il sauve par la suite, une fille perdue et en tombe amoureux, de plus, elle est une fée du logis, et elle lui redonne "goût à la Vie" ! Cependant, Gabin est soumis au chantage d'une ancienne connaîssance, par rapport à son passé, et qui vient souvent le harceler, jusqu'au jour oû il va vouloir aussi s'approprier la jeune fille ! Je ne dévoilerais rien de plus, Je ne savais pas que GABIN tournait dans un américain "impeccable", mais il est vrai que le temps que l'on lise les sous-titres en français, on occulte les images : c'est un sentiment personnel, mais c'est un très beau film à avoir, si l'on aime GABIN !!
H**T
Ein Hoch auf J. Becker!
Gute Auswahl von Beckers ( Vater ) Filmen, zeigt die Breite der Arbeiten und auch den Realismus des Reg. !
D**S
LEGENDAIRE
Jean Gabin n'a tourné que deux films à Hollywood. La péniche de l'amour fut le premier et l'Imposteur le second. De très belles images en noir et blanc, une ravissante actrice et un Gabin beau comme un dieu. Incontournabl et rare.
C**N
Image et son impeccable
Très beau film qui va régaler les fans de gabin! Gabin en anglais c'est rare!
D**E
envoie soigné, qualité du dvd impeccable
très satisfaite
O**0
Fan de Gabin
Un Jean Gabin impeccable dans un film rare tourner aux Etats- Unis et en Anglais, avec sous- titres en Français. Les décors du film sont superbes
Trustpilot
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4 days ago