Dans la valle de la Durance, en ramnagement cause de la construction du barrage de Serre-Ponon, le dcs d'un propritaire terrien fait que sa jeune fille Hortense devient la seule hritire des 30 millions de francs perus comme indemnit d'expropriation. La richesse de la mineure veille la convoitise de certains membres de la famille. Ils vont user de tous les stratagmes, de la sduction la violence, pour essayer de s'approprier son magot. Mais Hortense, prise de libert comme l'eau vive de la Durance, glissera toujours entre leurs doigts pour trouver finalement l'accalmie auprs de son oncle chri, le berger Simon OEuvre la gloire de la fe lectricit, avec comme arrire-plan les travaux titanesques du barrage de Serre-Ponon, le film de Franois Villiers imbrique fiction et ralit sur un scnario sign Jean Giono. A noter, la chanson du film, crite et interprte par Guy Bart.
C**N
Une vallée va disparaître, des humains y perdent leur âme.
Retrouver un film qui a en son temps marqué toute une génération qui a connu la Durance avant le barrage de Serre Ponçon. Et la beauté de la montagne, refuge des âmes pures face aux sentiments les plus vils qui animent des individus rongés par la jalousie et l’appât de l’argent. Et cela jusqu’à tuer..... Impressionnant.
A**S
Giono auteur de cinéma
Un film dont Jean Giono est l'auteur, mais pas le réalisateur technique; on retrouve là des thèmes chers au grand romancier, et sa façon de les exprimer, l'art de l'immense conteur qu'il était. Dommage qu'une bonne restauration n'ait pas été réalisée avant de publier ce grand film sur un support "durable".On attend le même avenir pour d'autres œuvres cinématographiques adaptées de Giono: Les grands chemins, Le chant du monde, Angèle, La femme du boulanger, Regain, sans oublier les adaptations télévisées: Ennemonde, le déserteur, Jofroi de la Maussan....
D**D
incroyable, ça valait le coup de contempler!
J’avais toujours pensé que l’Eau Vive était une agréable pastorale. C’était aussi la chanson de mes 8 ans. Nostalgie, nostalgie… Raté, c’est d’une noirceur tragique et pleine de soleil. Quand Giono nous raconte une histoire, c’est comme Virgile qui conduit Dante au milieu de notre vie pour visiter les enfers. Et l’œuvre nous montre l’horreur humaine ; à la limite du supportable, à la limite du crime, pour nous aider à mieux regarder notre vie. Et j’ai enfin compris les paroles de la célèbre chanson de Guy Béart : « Un jour que sous les roseaux, sommeillait mon eau vive / Vinrent les gars du hameau pour l'emmener captive /Fermez, fermez votre cage à double clé /Entre vos doigts, l'eau vive s'envolera » tout cela sur fond de construction d’un barrage sur la Durance (Serre-Ponçon), où c’est justement l’eau vive qui devient captive. 90 mn d’humanité farouche pour raconter les 4 ans d’enfer qu’Hortense doit traverser pour atteindre sa majorité...
A**Y
Une belle histoire de Jean Giono.
Cet été, nous avons passé quelques jours sur le lac de Serre Ponçon et je me suis souvenue du film que j'avais vu étant enfant en noir et blanc. J'ai commandé le DVD. La version colorisée est réussie et même si le film "a vieilli" nous avons beaucoup aimé.
M**.
L'eau vive
D'après un livre Jean Giono (Hortense ou l'eau vive), qui n'est malheureusement plus édité... mais voilà quelqu'un a eu la bonne idée de rééditer le film qui en a été tiré. J'ai trouvé les couleurs un peu fades par comparaison à une vieille copie sur vidéocassette enregistrée à la télé, et puis par comparaison à ce que je vois autour de moi, vu que je vis dans la région où le film a été réalisé, mais à part ça, c'est vraiment une super histoire.
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3 days ago
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